Le 2 Février, je quitte Sydney et l’Australie pour retrouver la Nouvelle-Zélande. J’atterris peu avant minuit à l’aéroport de Christchurch, ou je passe une nuit quasi-blanche. Comme d’habitude, je n’ai rien planifié à l’avance, à part que je ne veux pas m’éterniser à Christchurch, toujours une ville-fantôme six ans après le tremblement de terre. Au petit matin, je discute avec un Néerlandais et deux Allemandes dans la même situation et la même forme.
Deux jours plus tard, je suis sur la route avec le même Néerlandais et deux Allemandes. Mais pas les mêmes.
Nous voici partis direction Queenstown à bord d’une voiture de location qu’on a fièrement baptisé Milka (à cause du chocolat. Cherchez pas à comprendre. Les backpackers donnent souvent des noms à leur véhicules de location).
Que je repasse par des lieux visités deux ans plus tôt ou que je fasse de nouvelles découvertes, l’effet est toujours le même : la Nouvelle-Zélande est un pays dont la magie fonctionne toujours, et je pourrais bien prendre une photo tous les mètres que ça ne suffirait pas à lui rendre justice.
Après plusieurs jours passés à Queenstown, le retour – par une autre route – nous réservera d’autres surprises. Une semaine plus que remplie (et les guiboles aussi).
Extraits (maintenant, je ferme mon clapet et vous avez vos photos) :
Un lac à côté du Lac Tekapo.
Sentier de randonnée du glacier Rob Roy (2 heures aller-retour), à côté de Wanaka.
Sentier de randonnée de Roys Peak (5 heures aller-retour, 1581m d’altitude), à côté de Wanaka.
Idem.
Baie de Wilson, à côté de Queenstown.
Sentier de randonnée de Ben Lomond (5h30 aller-retour, 1748m d’altitude), sur les hauteurs de Queenstown.
Péninsule d’Otago, à côté de Dunedin.
Idem.
Ah oui, et j’allais oublier : il y a aussi… ça 😎